miércoles, 2 de diciembre de 2009

Journal Erasmus nº6

Lo que pongo a continuación lo hago no tanto pensando en vosotros, quienes me leéis, como en mi. En el futuro me hará ilusión ver los escritos que hacía durante mi experiencia Erasmus en Bruselas. A continuación plasmo el Journal Eramus nº6 en el cual se nos pedía hacer una descripción de una persona de una o dos páginas. El reto me resultaba muy dificil, sobre todo por la longitud del trabajo. Al final creo que tuve una idea creativa. Para rellenar páginas metí un diálogo entre yo mismo y el maestro Cervantes, donde le pido que me enseñe a describir. Si lo entendéis acepto críticas. Si no, pensad que está bien escrito en francés jeje.

-          Don Miguel de Cervantes? –ai-je demandé avec lâcheté.
-          En avant, en avant – a-t-il répondu – Est-il agréable de recevoir des visites, bien qu’elles soient imaginaires.
-          Après avoir été raccourci d’une main j’ai découvert qu’il manquait d’un bras, perdu dans la célèbre Bataille de Lepante contre les maures (1570).
-          Merci beaucoup monsieur. On verra… - j’ai baissé la tête et j’ai commencé à tourner mon pied nerveux – on verra, monsieur, on m’a commandé un travail pour lequel je ne sais pas bien comment le développer.
-          De quoi traite-t-il, jeune homme?
-          Bon, on m’a demandé de réaliser une description d’une personne, mais je ne saurais pas le faire en plus de deux lignes et une page entière m’est demandée. Et comme vous êtes l’un des grands maîtres espagnols de la littérature et vous faisiez très bien la description, j’ai pensé que vous pourriez m’aider.
-          Par tous les cieux ! bien sûr que je t’aiderai, les arts m’appellent.
-          Merci beaucoup monsieur –ai-je répondu sincèrement ému.
-          Voyons, comment décrirais-tu cette personne ?
-          Bon, c’est un homme d’environ 45 années, professeur aux Facultés Universitaires Saint Louis de Bruxelles. Il est d’une taille moyenne, imberbe et il a peu de cheveux.
-          De quelle couleur ? – Cervantes a interrompu.
-          Gris – j’ai répondu à la seconde – Et… à voir que plus… bon, il a l’habitude d’être toujours bien habillé, mais parfois il a un style personnel. Je l’ai vu avec une cravate un peu criarde ou avec une broche assez… disons originale, comme une fleur en velours. Et je ne sais pas ce que je peux dire de plus.
-          C’est tout ? Allez, je suis sûr que tu sais plus de choses de/sur lui.
-          Bon… oui, il porte des lunettes et il a une peau claire … et c’est tout.
-          Et maintenant laisse la physionomie de côté et décris-le comme personne.
-          Comme personne ? Bon, c’est un homme cultivé, qui parle trois langues je crois, qui a beaucoup voyagé et, apparemment, cela lui plaît d’enseigner. Il est marié, mais j’ignore la taille de sa famille. C’est un homme cordial et il a initiative.
-          Parfait, cela fait plus de trois lignes, jeune homme –a dit don Miguel pour ma satisfaction – Bien, maintenant nous allons mêler tout et lui donner une touche plus littéraire. Cela te semble bon ?
-          Cela me semble génial.
-          Voyons, comme serait-il si nous le décrivions ainsi : « du sujet que nous décrivons peu, mais nous pouvons tenter que vous vous en fassiez une idée. Après la lucarne de mon esprit, je vérifie une figure moyenne. Il s’agit d’un homme dont l’âge frôlera la moitié du siècle. Il est bien stylisé, avec un port élégant et un bon vêtement décoré. Peut-être  que la cravate reste. Sous les brillantes lunettes on découvre un regard intellectuel, un savoir abondant au-delà des pupilles. Mais dans le visage seulement cela, les lunettes et le regard, parce qu’il a aussi un peu de cheveux gris et le menton bien rasé. Je me fixe á sa main et il porte un anneau, un homme marié sans doute ». Et c’est ma description, ma photographie de cet homme duquel tu m’as parlé. Quelques données ne peuvent pas rendre dans une description littéraire, parce qu’il n’est plus que dire comment il est extérieurement cette personne. La personnalité, le travail et tout son contexte s’entendent en lisant des pages du livre.
-          Il me semble parfait, monsieur. Vous avez été d’une grande aide et j’ai pu compléter mon travail.
-          Je serai où la littérature m’appelle – don Miguel de Cervantes a dit avec orgueil et fermeté. Tout de suite, il s’est approché de moi et il m’a serré la main – Un plaisir Francisco.
-          Et après l’image est partie et il y a eu un fond noir. J’ai ouvert les yeux et me suis réveillé. Je me suis rapidement approché de l’ordinateur et me suis mis à écrite tout ce que je me rappelais : « Don Miguel de Cervantes ? »

3 comentarios:

  1. uoi uoi uoi .....

    (empezare a comentar con una cuenta, no vaya a ser k alguien se haga pasar por mi)

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  2. Jaja, ya sabes que es un placer recibirte por aqui!

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  3. Si, probablemente lo sea

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